Pigoreau Olivier

 

Olivier Pigoreau travaille depuis plus de dix ans sur la période de l’Occupation, en particulier sur certains aspects méconnus de la collaboration. Il a publié notamment :

Nom de code : Atlas (Nouveau Monde éditions, 2011), livre consacré à l’une des plus grandes affaires d’espionnage de la Seconde Guerre mondiale et dans lequel il s’intéresse notamment aux liens entre le PPF de Doriot et les services secrets allemands

Sanglante randonnée (Histoire et Collections, 2013), qui raconte l’histoire de la 8e compagnie du 3e régiment de la division Brandebourg, unité composée de volontaires français qui fut l’une des plus meurtrières ayant opéré en France contre la Résistance.

1944 : l’été chaud des collabos (Histoire et Collections, 2014), ouvrage qui revient sur les derniers combats des collaborationnistes en Normandie et à Paris.

Son âme au diable, Jean-Marie Balestre 1940-1945  (Editions Konfident, paru janvier 2020). Olivier Pigoreau y revient sur le parcours stupéfiant pendant l’Occupation de celui qui allait bâtir avec Robert Hersant le plus grand groupe de presse français et régner pendant une quinzaine d’années sur le sport automobile mondial. Balestre fut sans doute le seul Français à porter l’uniforme des Waffen-SS et à être titulaire de la carte de déporté interné de la Résistance.

Sur le site de HSCO : 

La 8e compagnie Brandebourg ? Tout sauf un détail.

Son âme au diable, Jean-Marie Balestre 1940-1945